Monday, August 20, 2007

Le retour dans la capitale

Ca y est c’est la rentrée…
Morosité ambiante garantie.
Et la grisaille aidant, les juilletistes et les aoutiens se plaigent à qui mieux-mieux !
Et pourtant, Paris au mois d’août ou juillet (pour ne pas faire de jaloux), même vidée de ses habitants habituels, reste une des plus belles capitales du monde.
Normal, suis parisienne à fond.
Les monuments parisiens n’ont pas été envahis, a priori. Faut voir les statistiques des ‘officiers’ du tourisme. Ok, je sais que je me prends pour Ségolène des fois, j’invente des mots : mon dico est parti en vacances…(trop la flemme d’utiliser la recherche automatique dans Outils avec le O Souligné ou un freeware quelconque disponible sur la toile).
En ce moment de toute façon, le mot d’ordre, lancé par le président revenu de ses vacances outre-Atlantique : c’est tout faire à la fois. Mais même pas mal pour moah…je suis les gros titres des magazines (le culte du Moi !). Donc je fais tout en même temps : visite de Paris en express, manger, repasser mon linge propre toute seule, profiter des 3 euros, 3 jours, prendre un véli libe, bosser comme une dinguot et faire métro-boulot-dodo...
Bref, pour faire court et couper court à toute remarque ‘désobligeante’, ne pas avoir le dernier maux, mais le dernier mot… ah ah positivons koi.

Promis la prochaine fois, je remets la foto habituelle, mais là la nuit ne fait que commencer et faut que je me rappelle comment envoyer les photos sur ce bidule de blog…

Iko Zatra,

Sunday, June 24, 2007

Toc toc toc… au théâtre ce soir.

Le rideau se lève.
Un étang avec des nénuphars, violets, jaunes, blancs…
Voahirana an-dranomaria
Des canards qui volent… au ras de l’étang.
Des poules d’eau également.
Des pêcheurs. Chut, on ne demande pas si ça mord. Ca fait fuir les… poissons – j’allais dire blackbass… ça existe ça ? ou c’est un souvenir du Lac Anosy (ou Itasy ??). Un peu de Google SVP : http://www.blackbass.free.fr/ arrive en tête des résultats sur un total d'environ 27 800 000 pour black bass (0,18 secondes). Merci Google.

Retour au bord de l’étang.
Des familles en ballade, endimanchées ou non. Tenues décontractées.
Chaussures adaptées au terrain boueux, normal, pour un bord d’étang. Quelques talons hauts. Ah, ils sont venus en voiture : les places de parkings sont rares, mais avec un peu de chance, il y en a toujours une qui se libère.
La fête peut commencer.
Nous voici arrivé à la guinguette : au menu du barbek : merguez et sardines, pommes de terre en robe des champs, vins rouges et eaux minérales. Cerises en dessert. Ah ma saison préférée : celle des fruits rouges.
Au menu musical : cinq guitares sans chanteuse – ni danseuse. Répertoire contemporain.
Bossa ? Nova ? Jazz ? No lo se.

Finalement, on ne va pas monter cette pièce sur les planches. Dès le début on se perd, commencer par une scène extérieure ne va pas du tout, trop difficile à planter dans un théâtre, même sans nom (décodage pour monziko qui lit par dessus mon épaule : il y a un théâtre parisien qui s’appelle théâtre sans nom).
Molière dont c’est la fête à Versailles s’en retournera dans sa tombe.

Bon, nous allons voir à quelques dizaines de milliers de kilomètres d’ici, si dans le fond culturel, il n’y aurait pas autre chose pour s’inspirer.
Le dieu du théâtre d’Epidaure doit être avec nous, voici une information extraite du site Haisoratra : http://www.haisoratra.org/breve.php3?id_breve=544mise en ligne le samedi 23 juin 2007 . Le titre : 52 ans de théâtre aux archives nationales.

Yes!

Bonne nuit

Iko

Saturday, June 16, 2007

Mais ou-est-donc-or-ni-car ?

Avant la musique, une diversion grammaticale/ou lexicale. Je ne sais jamais
En bilingue en tout cas. Ca va de soi.
(Pour le tri, repassez plus tard).

Les deux langues sont riches. Difficile de les maîtriser. Passer de l'une à l'autre, sans fôte grammaticale demande un effort - surmontable certes, comme dit l'expression consacrée : quand on veut, on peut. Et je peux en sortir des florilèges...et renchérir, et je dirai même plus : je pourrais renchérir, comme dirait Dupont (ou D?).

Fambarasanou, diasykasynou ?

Il paraît qu'on entend beaucoup en ce moment le mot : voilà.
Vous entendez ça aussi vous ? Jeanne Cherhal l’a entendu, elle aussi…Ah Jeanne et son eau..(l’album voir mon post de Noel).

L’animatrice de la radio Capricorne a proposé de remplacer par « wali wala» . Okay, je prends. Ca sonne good on my ears.

Argh, déformation professionnelle...le tri est revenu. En plus mon word trademark ne pratique pas la correction tri-grammaire-orthographe.

Ah Raeight, quelle idée, tu as eu ?

Sur ce, je vais jeter ma poubelle. C’est un peu indue mais je pratique le sélectif tardif.

Bizcoco

Iko

Thursday, May 31, 2007

Smashing under the rain...

Smashing under the rain...

La France à plusieurs vitesses...c'est étonnant.

La diversité.

Vous êtes plutôt quick ou gazon? Ah vous êtes terre battue...Un buzz chopé au hasard dans la rue (réelle, celle avec trottoir et chaussée), dit qu’il existe également des terrains en bicolore…en quadrichromie, aussi peut-être dans des contrées avancées.
Moi ce que j’en dis : faut voir comme dirait Lazarus, ou Thomas, le saint. Aie, j’ai perdu les références…

Ce billet commencé au début du rendez-vous Rolland-Garros, ne se termine que maintenant. Contrairement à la date la haut, aujourd’hui, nous sommes bien le 16 juin, et demain il y a les élections.
Je n’ai pas la chute pour ce billet, et la photo non plus, j’ai remisé l’appareil numérique au placard.

J’ai oublié qui a gagné Rolland Garros. Ce qui est sur c’est qu’il n’est pas français. Elle n’est pas française non plus d’ailleurs.

N’ai retenu que les arrêts de jeux dus aux intempéries.

Prochain rendez-vous à Wimbledon. Ah la classe.
Déjeuner sur l’herbe…

Sinon, il y a le rendez-vous tennis malagasy, cette année c’est à Châtenay-Malabry, dans le 92.
L’organisateur ne m’a pas dit sur quel terrain ils pratiquent.

Dally sera-t-elle là ?
(Je ne connais pas la relève).

Sur cette question, un billet plus précis sur un terrain que je pratique plus : la musique (et oui le 21 c’est sa fête).

Iko Smacka (bizkoi)

Tuesday, May 15, 2007

Silence…Tournez…Coupez !

N’en déplaise à l’ex-premier policier et ex-tous les autres postes de l’échelon et futur maître d’une puissance mondiale dans quelques heures, j’aime la France et plus particulièrement la capitale – la vraie andafy comme dirait ma grand-mère. Il y a 60 ans, voire plus, elle connaissait la France ma grand-mère…mais ça c’est une autre histoire que je ne connais toujours pas…(à voir plus tard donc).
Une des choses que j’aime en France, c’est le joli moi de mai et ses ponts, ne connaissant qu’ici (et là-bas of course) mais évoluant dans un milieu multiculturel, j’apprécie cette particularité de pouvoir prendre des ponts, des viaducs et tutti quanti…
Une autre chose et j’en viens à l’objet de ce billet, ce sont les évènements qui ponctuent l’année : et en ce moment, c’est Cannes. J’adore.
Je dois dire que si Paris est le must pour moi, je ne dédaigne pas faire des sauts dans la France profonde.
Et à propos de Cannes, moi aussi, j’ai monté les marches, sans les paparazzi certes, mais avec le tapis rouge s’il vous plait ! bon je dois avouer que c’est un souvenir un peu édulcoré que j’évoque et surtout que je garde, l’affaire remonte à …Mathusalem ! J’y ai vu un film sur les chevaux…je ne pratique pas le cheval. Souvenir intense quand même.
Cinéphile occasionnelle, je suis avec avidité le festival, à cause de ses stars, starlettes, croisette, mais ne retiens jamais qui a gagné la palme…je préfère Les palmes de Monsieur Schutz ou plutôt les Molière si vous préférez.
Pour en revenir à Cannes, je n’y vais pas cette année, non…pas de film malgache, ni avec Madagascar dans le générique cette année, suis lasse de googoler madagascar cannes…j’y trouverai sans doute Makibefo, Tabataba…. La nouvelle génération de cinéaste malgache a encore du pain ou du mofogasy, si vous préférez, sur la planche.
Pour une fois, word trademark suffira à écrire ce billet…Qui se termine ainsi d’ailleurs, en queue de poisson…oui, j’aime le poisson, ‘because fish knows everything’ une phrase tirée d’une chanson de Iggy Pop dans un super film Arizona dream…si mes souvenirs sont bons, la phrase d’après est encore plus saisissante.
Il est 5 heures, Paris s’éveille, à Cannes aussi, ça fait 60 ans que ça dure, alors, ahora mismo, ça commence : Moteur !

Iko Zatra
Pour la photo, repassez demain, je la cherche du côté de mon lobe de l’insula…

Tuesday, March 13, 2007

Il y a 60 ans

Je n'étais pas née
Lui non plus
Le monde autour nous interpelle...
Lui veut aller de l'avant
Ne pense qu'à son développement
Rapide
S'il vous plait
Tant pis si ça ne vous plait pas.
Et le moramora alors ?
Ne serai-je caméleon ?
Un oeil vers le passé
Un oeil vers le futur
Tsy taitra tsy maika..
Un oeil dans les papiers
Les vieux papiers
Les plus poussieureux
En attente
Ouverture reportée
Repassez
Un oeil dans les papiers
Les payants
(pas les jétables)
Mon canard - qui n'est pas vilain
en fait une page
Toute pleine
Mon transistor également
Et pourtant elle tourne
(à la même vitesse
qu'il y a 60 ans
mon commandant)
La même rengaine
Il n'était pas né
La parole est sacrée
On en entendra parler
encore une quinzaine de jours..
Et puis après ?
J'ai perdu la rime
Je ne l'ai jamais eu
(Poète, je ne serai jamais)
Et pourtant
Je croyais pouvoir en être une :
40 taona zao
Efa lasa sy nandao
No tanataraiko eto
Sy ambarako aminao...
(ah que c'est bon d'avoir 10 ans
et parler à la radio nationale )

Bon ben, je vais revoir ma copie
en attendant, je vais faire un p
arcours par là.

M. Ikoza

PS. j'hesite entre les 2 parcours..




Références médiatiques :
Telerama N°2982 - Page 40
France Inter- Et pourtant elle tourne avec Francoise Raison Jourde lundi 18h30


Référence poétique :
Emission de jeudi après-midi sur la RNM - Radio Nationale de Madagascar il y a quelques années...

Tuesday, March 06, 2007

En attendant le printemps...



Paris m'ennuie...
La grisaille, la pluie, les mauvaises odeurs dans le réseau de transport parisien, les appels oppressants à vigilence contre les pickpockets, un boulot à contenu intéressant mais avec des managers pas à la hauteur pour un salaire pas à la hauteur... bref, ça sent la déprime de fin d'hiver!
Vivement le printemps!
Heureusement qu'il y a les poètes, ils ont déjà commencé leur printemps (http://tatao.over-blog.com/article-5773245.html), à nous la banlieue, la ville malgache sur la ligne B, toute une expédition à travers Paris...et à travers la littérature malagasy...

En attendant l'inspiration, coming soon i hope, une photo de leur fameux baobab...à poèmes !

Eny hoa, on se gausse en triglossie !
(et en néologisme...)
Ikoz'