Sunday, June 24, 2007

Toc toc toc… au théâtre ce soir.

Le rideau se lève.
Un étang avec des nénuphars, violets, jaunes, blancs…
Voahirana an-dranomaria
Des canards qui volent… au ras de l’étang.
Des poules d’eau également.
Des pêcheurs. Chut, on ne demande pas si ça mord. Ca fait fuir les… poissons – j’allais dire blackbass… ça existe ça ? ou c’est un souvenir du Lac Anosy (ou Itasy ??). Un peu de Google SVP : http://www.blackbass.free.fr/ arrive en tête des résultats sur un total d'environ 27 800 000 pour black bass (0,18 secondes). Merci Google.

Retour au bord de l’étang.
Des familles en ballade, endimanchées ou non. Tenues décontractées.
Chaussures adaptées au terrain boueux, normal, pour un bord d’étang. Quelques talons hauts. Ah, ils sont venus en voiture : les places de parkings sont rares, mais avec un peu de chance, il y en a toujours une qui se libère.
La fête peut commencer.
Nous voici arrivé à la guinguette : au menu du barbek : merguez et sardines, pommes de terre en robe des champs, vins rouges et eaux minérales. Cerises en dessert. Ah ma saison préférée : celle des fruits rouges.
Au menu musical : cinq guitares sans chanteuse – ni danseuse. Répertoire contemporain.
Bossa ? Nova ? Jazz ? No lo se.

Finalement, on ne va pas monter cette pièce sur les planches. Dès le début on se perd, commencer par une scène extérieure ne va pas du tout, trop difficile à planter dans un théâtre, même sans nom (décodage pour monziko qui lit par dessus mon épaule : il y a un théâtre parisien qui s’appelle théâtre sans nom).
Molière dont c’est la fête à Versailles s’en retournera dans sa tombe.

Bon, nous allons voir à quelques dizaines de milliers de kilomètres d’ici, si dans le fond culturel, il n’y aurait pas autre chose pour s’inspirer.
Le dieu du théâtre d’Epidaure doit être avec nous, voici une information extraite du site Haisoratra : http://www.haisoratra.org/breve.php3?id_breve=544mise en ligne le samedi 23 juin 2007 . Le titre : 52 ans de théâtre aux archives nationales.

Yes!

Bonne nuit

Iko

Saturday, June 16, 2007

Mais ou-est-donc-or-ni-car ?

Avant la musique, une diversion grammaticale/ou lexicale. Je ne sais jamais
En bilingue en tout cas. Ca va de soi.
(Pour le tri, repassez plus tard).

Les deux langues sont riches. Difficile de les maîtriser. Passer de l'une à l'autre, sans fôte grammaticale demande un effort - surmontable certes, comme dit l'expression consacrée : quand on veut, on peut. Et je peux en sortir des florilèges...et renchérir, et je dirai même plus : je pourrais renchérir, comme dirait Dupont (ou D?).

Fambarasanou, diasykasynou ?

Il paraît qu'on entend beaucoup en ce moment le mot : voilà.
Vous entendez ça aussi vous ? Jeanne Cherhal l’a entendu, elle aussi…Ah Jeanne et son eau..(l’album voir mon post de Noel).

L’animatrice de la radio Capricorne a proposé de remplacer par « wali wala» . Okay, je prends. Ca sonne good on my ears.

Argh, déformation professionnelle...le tri est revenu. En plus mon word trademark ne pratique pas la correction tri-grammaire-orthographe.

Ah Raeight, quelle idée, tu as eu ?

Sur ce, je vais jeter ma poubelle. C’est un peu indue mais je pratique le sélectif tardif.

Bizcoco

Iko